Moiss’-batt’, j’achète, il loue, nous partageons
Près de 60 000 moissonneuses-batteuses sont détenues en propriété dans les exploitations agricoles. Un quart des fermes de grandes cultures en possède une, ce chiffre passant à 50 % dans les fermes cultivant plus de 50 hectares de céréales.
Malgré le coût d’un tel investissement, beaucoup d’agriculteurs ont encore recours à l’achat, comme en témoignent ces données issues de la dernière enquête Agreste sur l’équipement en matériel des exploitations agricoles. La liberté de pouvoir récolter exactement quand et comme on le souhaite n’a pas de prix. Il existe pourtant d’autres stratégies pour s’équiper.
Si acheter neuf ou d’occasion peut valoir la peine, ne serait-ce que sur le plan de l'amortissement, le recours au service d’une Cuma reste possible. L’achat en copropriété permet quant à lui de réduire les frais. La location, enfin, apparaît comme une solution qui se développe. Tour d’horizon.
Pour en savoir plus
Voir dossier Réussir Grandes Cultures de juin 2016. RGC n°303, p. 20 à 31.
Au sommaire :
- p. 22 - Des stratégies variées pour s'équiper.
- p. 24 - " Une moiss'-batt' neuve adaptée à ma surface ". Charles Armand de Maillé dans le Cher.
- p. 26 - " Il n'y a pas plus simple que la location ". Pascal Hurtault dans la Nièvre.
- p. 28 - " Les coûts et l'organisation optimisés avec la Cuma ". Jean-François Panier dans la Nièvre.
- p. 30 . " L'occasion à la moisson est pour moi une évidence ". Matthieu Vandooren dans l'Eure.