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Ses derniers articles d'actualité agricole

Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France lors d'une conférence de presse.
Moisson 2024 : l’Ile-de-France débloque 5,5 millions d’euros pour aider les agriculteurs
Face aux mauvais rendements de la moisson 2024, la région vient d’annoncer une aide aux céréaliers ayant…
Rotation : bien implanter sa culture ou son couvert après un tournesol
Dans la majorité des cas, le tournesol est suivi d’un blé. La succession avec une autre culture d’été est…
« J’obtiens 20-30 quintaux/hectare les bonnes années, seulement 13 quintaux/hectare en 2020, explique Damien Heurtaut. La récolte est délicate, car les premières gousses sont très basses, et fin septembre il y a souvent de l’humidité. »
« Je cultive du soja dans l’Oise pour allonger les rotations »
Damien Heurtaut, agriculteur à Autheuil-en-Valois dans l'Oise, s’est lancé dans le soja il y a six ans. Il en…
« Nous avons semé le soja le 18 mai, à 500 000 graines/hectare, au semoir monograine à 50 cm d’écartement avec l’idée de pouvoir biner, précise Yves Pihery. Cela n’a pas été nécessaire, quatre passages de herse étrille ont suffi. »
« Nous cultivons du soja en Ille-et-Vilaine grâce à l'arrivée des variétés 000 »
Yves Pihery, agriculteur en conversion bio à Pléchatel, Ille-et-Vilaine, s’est lancé dans le soja en écartant…
parcelle de soja
Soja : pourquoi on peut désormais le cultiver (presque) partout en France
Le changement climatique et la sélection de variétés plus précoces permettent désormais de produire du soja…
« Je ne suis pas équipé en irrigation, mais le semis direct, qui n’assèche pas le sol et laisse la paille sur place, semble améliorer la réserve utile », explique Franck Butavant.
Diversification : « J’augmente le soja pour remplacer le tournesol et le colza »
Franck Butavant, agriculteur à Saint-Aubin, dans le Jura, consacre un tiers de son assolement au soja, dont…
Alexandre Baudry (à droite) et Virgile Noizet disposent de nombreux outils de désherbage mécanique au sein de leur Cuma.
Désherbage : « Nous réglons spécifiquement la herse étrille pour chaque parcelle »
Alexandre Baudry, agriculteur à Vaudescincourt (Marne), met un soin particulier à adapter la vitesse d'…
Gilles Monaury (à droite), directeur du négoce Vendée Sèvres Négoce, et l'agriculteur Mickaël Proust l'assurent : « entre le bio et le conventionnel, il y a de la place pour d’autres modes de production. » © V. Bargain
La Belle Terre, une filière blé sans pesticides de synthèse en végétation
Une filière de blé sans traitement chimique de la levée à la moisson : ce compromis entre bio et…
Mickaël Proust s'est engagé dans la filière La Belle Terre pour augmenter la valeur ajoutée de son blé, sans avoir à passer au bio, inadapté à son parcellaire morcelé de 300 hectares. © V. Bargain
« Avec la filière blé La Belle Terre, j’espère une marge proche de celles des semences »
Mickaël Proust, agriculteur sur 300 ha de grandes cultures à Saint-Symphorien (Deux-Sèvres),…