L’association Cerise de Venasque dépose plainte pour “contrefaçon”
Bénéficiant d’une solide notoriété, la cerise de Venasque en dépit de sa marque protégée doit se méfier des “contrefaçons”. C’est ainsi que l’association a déposé plainte à l’encontre d’un commerçant forain pris en flagrant délit sur le marché de Nice. A Pâques, celui-ci proposait du “gros burlat de Venasque” alors que la récolte n’avait pas débuté et au prix “modique” de… 150 €/kg. Le même détournement d’image est utilisé par le ministère de la Production de la province de Chubut, situé en Patagonie argentine. Un flyer – trouvé à Fruit Logistica – présente la production locale illustrée par une image de plateaux Mont de Venasque et Cherise. Mais l’association n’a aucun recours, la marque n’ayant pas été déposée pour l’étranger.