La Sica St Pol réagit sur le 44 t
« Il aurait fallu appréhender l’évolution de la législation poids lourd dans son ensemble en intégrant la notion de volume. En occultant la notion de volume, la problématique logistique des fruits, légumes et horticole n’a pas été prise en compte. En Bretagne, la filière légumière est le premier fréteur logistique routier. Plutôt que de s’occuper du poids des camions et de l’ajout d’un essieu, qui va coûter plus cher aux transporteurs, il aurait plutôt fallu s’occuper du rallongement des camions. Et s’intéresser à ce qui se fait aux Pays-Bas, voire même en Suède et au Danemark. C’est aujourd’hui ce que fait l’Allemagne à ce sujet. Car cette mesure du 44 t n’est intéressante que pour 20 % des flux routiers », a indiqué Jean-François Jacob à fld.