Un essai illustre l’effet positif des activateurs biologiques de sol
L’intérêt des activateurs sur l’évolution de la flore prairiale est confirmé par un essai présenté aux journées AFPF. Telle est la conclusion d’un essai mené conjointement par
le Gnis et PRP Technologies présenté lors des dernières journées organisées
par l’association française pour la production fourragère à Paris.
Réalisé sur huit plateformes dans divers contextes pédo-climatiques,
cet essai a duré trois ans. « L’activateur agit comme un catalyseur de l’activité biologique du sol en agissant sur la plante, les microorganismes et la macrofaune, avancent les auteurs de l’étude. Son utilisation a engendré un renversement de dominance favorable aux espèces ‘nobles’. Les espèces à bonne valeur fourragère, et notamment le trèfle blanc, progressent (+ 25 %) et la proportion d’indésirables diminue (- 43 %). Ces évolutions sont plus nettement marquées en prairies permanentes (+ 61 % de bonnes espèces) qu’en prairies temporaires (+ 13 %). »