Des bovins sèment la pagaille au village



Lecourrierdelamayenne.fr du 10 octobre
« À Cossé-en-Champagne, dans le canton de Meslay-du-Maine, un troupeau de près de 150 bovins est en divagation depuis 2005. Devenues sauvages, les bêtes posent problème. « Je ne compte plus les fois où la gendarmerie m'a appelée en pleine nuit pour aller chercher les bêtes sur la route. Je partais avec ma lampe torche », indique Marie-Claude Morand, 73 ans, maire de Cossé-en-Champagne. Les services de l'État ont bien connaissance de ce sujet. « Mais nous sommes démunis juridiquement », reconnaît le préfet Frédéric Veaux. »
Lefigaro.fr du 18 octobre
« Des carcasses de "viandes maturées" qui tournoient dans des vitrines, comme des pièces d'orfèvrerie : ce spectacle déjà bien connu des clients de quelques boucheries de renom va désormais tenter de séduire le grand public. À l'origine de cette tendance, nouvelle dans la grande distribution, quelques bouchers stars.
L'émergence de cette nouvelle mode a séduit les industriels désireux de compenser un marché en perte de vitesse, à l'image du numéro un de la viande en France, Bigard, qui a lancé la marque "la réserve du boucher" sur ce créneau. »
Lemonde.fr du 21 octobre
« Selon une récente étude de la Rabobank, banque néerlandaise, la consommation de viande aux États-Unis a augmenté de 5 % en 2015, après une dimininution. La plus forte croissance en quarante ans. La globosphère militante pour la suppression des produits carnés s’est bien gardée de relayer l’étude de la Rabobank.
Selon William Sawyer, l’auteur du rapport, les causes de cette inversion de tendance sont claires : « Les gens ont mangé moins de viande parce qu’ils n’avaient plus les moyens d’en acheter, et pas parce qu’ils se souciaient de l’impact de sa production sur l’environnement. »