Les JA ont servi le petit-déjeuner aux festivaliers
Pour la 2e année, les JA étaient aux côtés de l’abbé Michel Malvezin lors du festival de théâtre de rue d’Aurillac.

Toujours le sourire aux lèvres, les JA ont offert le café et les croissants, dès 4 heures du matin, aux festivaliers noctambules.
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L'Union du Cantal
Pour la deuxième année consécutive, les Jeunes agriculteurs étaient aux côtés de l’abbé Michel Malvezin pour proposer aux festivaliers noctambules le café et les croissants sur le parvis de Notre-Dame-aux-Neiges durant le festival international de théâtre de rue d’Aurillac. “Nous sommes là pour montrer un autre visage des JA, pour prouver que nous sommes ouverts et capables de nous intéresser à autre chose qu’à l’agriculture”, expliquait Julien Fau, président des JA. Ainsi, durant quatre matinées, les jeunes agriculteurs se sont succédé pour donner la main “mais également pour expliquer qui nous sommes, ce que nous faisons”.
Population cosmopolite
Les JA ont également prêté une oreille attentive à toutes celles et ceux qui avaient envie de parler. “Ici, on voit de tout, on discute avec tout le monde et ce brassage de population est très enrichissant”, poursuivait Julien Fau. On ne pouvait que lui donner raison quand, en ce vendredi matin légèrement frisquet, la foule se rassemblait autour de l’abbé Malvezin, Vincent Descœur, président du Conseil général, Jacques Mézard, président de la Communauté d’agglomération du bassin d’Aurillac, et Jean-Marie Songy, directeur artistique du Festival, pour débattre sur le thème : “Je ne suis pas une racaille”. Un sujet volontairement introduit par l’abbé afin de faire réagir les élus mais surtout la foule composée de jeunes et de moins jeunes. Un débat bien suivi pendant un quart d’heure environ. Seule une poignée d’intéressés ira au-delà.
Débats animés
“Ici, on accueille beaucoup de monde et de tous horizons. ça n’a pas été toujours facile”, clamait Jacques Mézard. “Alors pourquoi on nous fait chier à la SNCF ? Pourquoi y a des barrages ? Pourquoi le Square est fermé ?”, s’emportait un jeune. Reprenant la maîtrise du débat, l’abbé rappelait qu’ici “nous sommes un gros groupe de racailles, avec des convictions à défendre. Pour vivre ensemble, il faut s’accepter”. C’est ce que fait le Festival depuis plus de 20 ans “avec à la base un rassemblement artistique où la liberté d’expression peut réunir toutes les racailles du monde. Alors que la liberté est menacée partout dans le monde, n’oublions pas qu’à Aurillac, on déclare la ville ouverte”, répondait Jean-Marie Songy.
Mais qui dit rassemblement, dit “certaines règles à respecter, enchaînait Vincent Descœur. Et quand on parle de tolérance, le festival d’Aurillac a largement prouvé que l’on pouvait le faire et dans de bonnes conditions”.
Population cosmopolite
Les JA ont également prêté une oreille attentive à toutes celles et ceux qui avaient envie de parler. “Ici, on voit de tout, on discute avec tout le monde et ce brassage de population est très enrichissant”, poursuivait Julien Fau. On ne pouvait que lui donner raison quand, en ce vendredi matin légèrement frisquet, la foule se rassemblait autour de l’abbé Malvezin, Vincent Descœur, président du Conseil général, Jacques Mézard, président de la Communauté d’agglomération du bassin d’Aurillac, et Jean-Marie Songy, directeur artistique du Festival, pour débattre sur le thème : “Je ne suis pas une racaille”. Un sujet volontairement introduit par l’abbé afin de faire réagir les élus mais surtout la foule composée de jeunes et de moins jeunes. Un débat bien suivi pendant un quart d’heure environ. Seule une poignée d’intéressés ira au-delà.
Débats animés
“Ici, on accueille beaucoup de monde et de tous horizons. ça n’a pas été toujours facile”, clamait Jacques Mézard. “Alors pourquoi on nous fait chier à la SNCF ? Pourquoi y a des barrages ? Pourquoi le Square est fermé ?”, s’emportait un jeune. Reprenant la maîtrise du débat, l’abbé rappelait qu’ici “nous sommes un gros groupe de racailles, avec des convictions à défendre. Pour vivre ensemble, il faut s’accepter”. C’est ce que fait le Festival depuis plus de 20 ans “avec à la base un rassemblement artistique où la liberté d’expression peut réunir toutes les racailles du monde. Alors que la liberté est menacée partout dans le monde, n’oublions pas qu’à Aurillac, on déclare la ville ouverte”, répondait Jean-Marie Songy.
Mais qui dit rassemblement, dit “certaines règles à respecter, enchaînait Vincent Descœur. Et quand on parle de tolérance, le festival d’Aurillac a largement prouvé que l’on pouvait le faire et dans de bonnes conditions”.