[Contenu partenaire] Fullwood Packo : « Nos robots de traite trient le lait selon les taux »
Stéphane, Thierry et Florent Blouin ont robotisé leur traite avec trois M2erlin de Fullwood Packo. Grâce à ces robots, les trois frères limitent les tâches physiques et gèrent seul l’astreinte du week-end avec 170 vaches laitières.
Stéphane, Thierry et Florent Blouin ont robotisé leur traite avec trois M2erlin de Fullwood Packo. Grâce à ces robots, les trois frères limitent les tâches physiques et gèrent seul l’astreinte du week-end avec 170 vaches laitières.
Dans le Calvados, le Gaec Blouin utilise trois M2erlin depuis 18 mois. Une période qui donne aux éleveurs « assez de recul pour valider leur choix ». La fiabilité du matériel et sa simplicité d’utilisation se confirment avec le temps. Les associés ont abandonné leur salle de traite 2 x 16. Avec un objectif : limiter la pénibilité. « On pense à nos épaules ! », résume Stéphane.
Dans ce contexte, la possibilité de trier le lait en fonction des taux a séduit les frères Blouin. La production la moins riche, et donc plus digestible, est envoyée vers le DAL de l’atelier veaux gras, via une électrovanne. « C’est automatique. Cette possibilité offerte par Fullwood Packo est un vrai plus. On gagne en confort de travail », insiste Thierry.
Un tri simple et une ambiance silencieuse
Les doubles entrées et sorties du robot facilitent le tri des vaches. Une porte trois voies répartit les animaux à isoler sur deux aires paillées ou un box pour les IA. L’ambiance de la stabulation confirme cette sérénité. Le M2erlin fonctionne avec
des moteurs électriques en 24 volts. « C’est vraiment silencieux », note Florent. Les frères Blouin apprécient aussi la conception simple du robot. « Les pompes à lait et à vide sont communes aux salles de traites. De nombreuses pièces sont universelles », détaille Marc Charpentier de CG Elevage Services (14 500 Campagnolles), revendeur Fullwood Packo.
Penser au coût d'utilisation du robot de traite
Ces orientations techniques se traduisent dans le prix de revient du robot. Le Gaec Blouin a fait ses comptes : « nous ne nous sommes pas arrêtés à l’achat, nous avons calculé notre coût d’utilisation sur cinq ans. Nos robots répondent donc à notre attente en termes de coût et de praticité ».