Caprin
Les éleveurs de chèvres mobilisés pour sauvegarder la filière !
Caprin
Fédération nationale des producteurs de lait de chèvre
La crise du lait de chèvre, caractérisée par des surstocks importants et une guerre commerciale livrée entre les principales entreprises, perdure.
Les producteurs de lait de chèvre sont très inquiets des menaces qui pèsent aujourd’hui sur le prix du lait de chèvre, dues aux difficultés financières que traversent certaines entreprises.
La FNEC s’inquiète très fortement des conséquences néfastes que cela peut avoir sur le monde de la production. En effet, dans certaines réunions où les responsables du GLAC s’expriment, ils annoncent une baisse du prix du lait de chèvre à partir du 1er janvier 2012.
Si le GLAC, acteur majeur de la filière caprine, baisse le prix payé au producteur, cela aurait un effet « domino » à la baisse, que les producteurs ont connu et subi dès 2010, et qui est inacceptable. Pour une exploitation moyenne de 200 000 litres déjà mise à mal par la hausse des coûts de production et la sécheresse (soit plus de 100 euros/ 1 000 l) une baisse du prix du lait représenterait une baisse de chiffre d’affaires annuel pouvant aller jusqu’à 30 000 euros !
La FNEC a demandé le soutien des pouvoirs publics pour prendre en compte la problématique du GLAC. Il est impératif de trouver avec les banques et l’État une solution aux difficultés que traverse le GLAC afin que la baisse de prix du lait payé au producteur n’ait jamais lieu.
Si rien n’est fait, c’est toute la filière caprine qui sera entraînée dans une nouvelle spirale de dévalorisation dont elle ne pourrait jamais se relever. Une baisse de prix du lait de chèvre aujourd’hui équivaut à acter la disparition de plus de 25 % des producteurs !
Les producteurs de lait de chèvre sont solidaires des producteurs de lait de vache livrant au GLAC et restent très mobilisés à tous les échelons pour trouver une sortie à cette crise.
La FNEC s’implique très fortement dans le plan stratégique pour la filière qui est en train d’être discuté au sein de l’interprofession. Notre objectif est de mettre en place des actions structurantes afin de redonner un sens à la filière caprine.
Les producteurs de lait de chèvre sont très inquiets des menaces qui pèsent aujourd’hui sur le prix du lait de chèvre, dues aux difficultés financières que traversent certaines entreprises.
La FNEC s’inquiète très fortement des conséquences néfastes que cela peut avoir sur le monde de la production. En effet, dans certaines réunions où les responsables du GLAC s’expriment, ils annoncent une baisse du prix du lait de chèvre à partir du 1er janvier 2012.
Si le GLAC, acteur majeur de la filière caprine, baisse le prix payé au producteur, cela aurait un effet « domino » à la baisse, que les producteurs ont connu et subi dès 2010, et qui est inacceptable. Pour une exploitation moyenne de 200 000 litres déjà mise à mal par la hausse des coûts de production et la sécheresse (soit plus de 100 euros/ 1 000 l) une baisse du prix du lait représenterait une baisse de chiffre d’affaires annuel pouvant aller jusqu’à 30 000 euros !
La FNEC a demandé le soutien des pouvoirs publics pour prendre en compte la problématique du GLAC. Il est impératif de trouver avec les banques et l’État une solution aux difficultés que traverse le GLAC afin que la baisse de prix du lait payé au producteur n’ait jamais lieu.
Si rien n’est fait, c’est toute la filière caprine qui sera entraînée dans une nouvelle spirale de dévalorisation dont elle ne pourrait jamais se relever. Une baisse de prix du lait de chèvre aujourd’hui équivaut à acter la disparition de plus de 25 % des producteurs !
Les producteurs de lait de chèvre sont solidaires des producteurs de lait de vache livrant au GLAC et restent très mobilisés à tous les échelons pour trouver une sortie à cette crise.
La FNEC s’implique très fortement dans le plan stratégique pour la filière qui est en train d’être discuté au sein de l’interprofession. Notre objectif est de mettre en place des actions structurantes afin de redonner un sens à la filière caprine.