L’enrubannage coûte 40 % de plus que le foin
L’enrubannage coute 40 % plus cher que le foin ramené à la tonne de matière sèche : 92 € contre 65 €*.
La valeur alimentaire reste exclusivement liée à celle du fourrage fauché et donc au stade de la plante. L’identification des bottes par le nom de la parcelle facilite la répartition en fonction du type d’animaux au cours de l’hiver. Les marques sur les bottes à l’aide de bombes de peinture de (rouge, bleu, vert) pour animaux résistent aux intempéries toute une campagne. Les brebis à forts besoins, c’est-à-dire celles en début de lactation sont prioritaires sur les meilleurs fourrages, c’est-à-dire ceux récoltés les plus tôt.
Pas de terre et suffisamment sec
De plus, l’enrubannage doit être d’excellente qualité afin d’éviter les problèmes sanitaires.
Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1410, du 18 mai 2017, en page 11.