Aller au contenu principal

Le contrat d’assurance remplacement : un contrat indispensable

Jean-François Richard, producteur de lait en Gaec à Saint-Flour-de-Mercoire, a fait appel au service de remplacement (SR) à la suite d’un accident.

© SR48

Comment avez-vous connu le service de remplacement ?
J’ai connu le SR lors d’une réunion d’information à Chaudeyrac. J’ai adhéré au Service et au contrat d’assurance collectif « Main d‘½uvre de remplacement » en 2006 au moment où on a créé le Gaec.

Pourquoi avez-vous eu besoin du SR ?
J’ai fait appel au SR fin mai 2016 pour un accident du travail. Lors de la traite j’ai reçu un coup de pied d’une vache dans l’épaule, je ne pouvais plus travailler.

Comment s’est déroulée la mise en place du remplacement ?
Cela s’est fait très facilement. J’ai contacté le service de remplacement dès que je me suis fait mal et ils m’ont trouvé un agent. J’ai le contrat d’assurance collectif avec une franchise de trois jours en accident du travail. Durant cette franchise, mes associés se sont débrouillés. Lors de l’arrivée du salarié, j’étais présent sur l’exploitation donc j’ai pu lui donner les consignes.

Comment ça se passe avec l’agent ? Quelle est sa mission ?
Très bien, je lui ai expliqué le travail le jour de son arrivée et depuis il est autonome et se débrouille seul. Il s’occupe de la traite matin et soir sur le site de Saint-Flour-de-Mercoire. Ensuite il s’occupe des génisses sur le site de Rocles.

Est-ce que c’est la première fois que vous faites appel au SR ?
Non je l’ai déjà utilisé plusieurs fois auparavant en 2014 et 2015 pour de l’accident mais aussi pour de la maladie. Mes associés étaient également passés par le SR pour leurs remplacements paternité en 2011 et 2014.

 

Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1403, du 30 mars 2017, en page 4.

Les plus lus

Les associés du Gaec de la Cartalade avec Emmanuel Grange de chez DeLaval devant les 3 robots fraichement installés.
3 robots de traite nouvelle génération pour gagner en souplesse de travail

À Mercoeur, les 5 associés du Gaec de la Cartalade ont fait le choix de traire un troupeau de 150 vaches montbéliardes à…

Comment la France peut aider le Maroc à repeupler son cheptel bovin et ovin ?

Sept ans d'une sécheresse redoutable, couplée aux soubresauts de la géopolitique ont fragilisé l'élevage marocain, si bien que…

vaches de races limousines dans un pré.
Aide au vêlage : 200 € par vêlage financés par la Région Auvergne-Rhône-Alpes

Destinée à encourager la recapitalisation du cheptel bovin viande dans la région, cette aide au vêlage ouvrira à partir de…

“Je veux pouvoir aller aux vaches en baskets !”

Chez les Noyer, à Saint-Martin-Cantalès, on ne lésine pas avec la propreté des vaches, de la stabulation et de la salle de…

Un groupe de personnes au milieu de véhicules de pompiers.
Photographie, le quotidien mis en scène

Le jeune photographe cantalien, Dorian Loubière, poursuit sa série de mises en scène des années 1950. Dernière prise de vue,…

vaches charolaises dans un pré.
Provision élevage : Comment les éleveurs peuvent bénéficier de cette mesure fiscale obtenue par le syndicalisme FNSEA-JA ?

La nouvelle provision élevage, déductible du résultat imposable, peut permettre aux éleveurs bovins d’économiser, dans les…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière