Lait de montagne : une dynamique rurale qui dépasse le cadre agricole
En montagne, produire et collecter du lait coûte plus cher. Les producteurs attendent le retour d’une plus-value, profitable aux territoires.
Mars 2015 voyait la fin des quotas laitiers. Un dispositif, mis en place en 1984, perçu comme une aide au maintien d’une activité laitière même pour des exploitations à taille réduite et ce, en tout point du territoire. Lors d’une conférence donnée dans le cadre du Sommet de l’élevage, Myriam Ennifar de FranceAgriMer soulignait d’ailleurs que, depuis, les zones du Massif central avaient plutôt bien résisté en termes de production laitière. Pourtant, comme dans toutes les zones de montagne, les contraintes y sont plus nombreuses – et coûteuses – d’où l’espoir pour les producteurs de tirer de cette spécificité une plus-value.
Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1479, du 11 octobre 2018, en page 9.