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Doux: La FNSEA et les JA aux côtés des éleveurs
Joël Limouzin, vice-président de la FNSEA suit le dossier Doux. Il a fait un point sur la situation à l'occasion d'un déplacement sur l'exploitation des Leroy à Chazemais dans l'Allier.


Des éleveurs du groupe Doux venant de l'Auvergne et du Centre se sont retrouvés, jeudi 5 juillet, à Chazemais, dans l'Allier, sur l'exploitation d'Antoine et Geneviève Leroy. L'occasion pour eux d'échanger avec Joël Limouzin, vice-président de la FNSEA, Dominique Barrau, secrétaire général de la FNSEA, Christiane Lambert, vice-présidente de la FNSEA et Gaël Gautier, secrétaire général des Jeunes Agriculteurs.
"Notre vision, même si ce n'est pas facile à entendre, aux vues de l'immensité des créances que le groupe Doux doit aux éleveurs, c'est de continuer à remplir les ateliers de poussins. S'il y arrêt c'est toute l'activité qui s'arrête, c'est la chute précipitée du groupe ", a expliqué Joël Limouzin, très impliqué sur ce dossier au sein de la grande maison. Si les éleveurs ont bien conscience de cette spirale, il n'en demeure pas moins que pour eux, la situation devient de plus en plus tendue. "Qu'on nous assure que nous serons payés et là nous continuerons!", a insisté Antoine Leroy. Au lendemain du 16 juillet, date à laquelle, le nom du repreneur sera connu, les éleveurs espèrent bien que ce dernier s'exprimera afin de leur dire dans quelle direction, il compte aller.
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