DeLaval propose un nouveau concept pour la traite robotisée
Traire des lots de vaches à heures fixes avec des robots, tel est le principe du concept VMS Batch milking dédié à l’optimisation de la traite robotisée dans les grands troupeaux.
Traire des lots de vaches à heures fixes avec des robots, tel est le principe du concept VMS Batch milking dédié à l’optimisation de la traite robotisée dans les grands troupeaux.
Dans un contexte d’agrandissement des élevages associé à de la pénurie de main-d’œuvre, l’organisation de la traite en système conventionnel (roto...) peut devenir très compliquée voire incompatible avec de bonnes performances économiques et conditions de travail. D’où l’idée de la société de lancer le concept « VMS Batch milking ».
Dédié aux grands troupeaux (plus de 250 vaches), il consiste à traire les vaches par lots (batch milking) à heures fixes avec des robots de traite VMS. Autrement dit, le concept s’appuie sur un mix entre la traite conventionnelle et robotisée.
Les robots sont installés en parallèle dans une zone du bâtiment dédiée à la traite. « Avec le nouveau concept de traite par lot VMS, les grands troupeaux peuvent profiter des avantages du robot de traite avec des changements et un impact mineurs sur la gestion quotidienne. »
Moins de main-d'œuvre et simplicité
Cité comme exemple, l’élevage de Renato Aceto, dans le Sud de l’Italie, utilise le VMS Batch milking depuis quelques mois pour traire 240 vaches et bientôt 480 vaches. Le troupeau est scindé en lots de 60 vaches. Elles sont traites trois fois par jour par huit robots VMS. Chaque session dure 45 à 50 minutes. Un seul employé suit le bon déroulement de la traite tout en gérant d’autres tâches (nettoyage des logettes…). Un couloir de retour d’une largeur de 1,80 à 2 mètres permet d’assurer une bonne circulation des vaches en sortie de traite.
Moins de main-d’œuvre, meilleure efficacité du travail, simplicité, amélioration du bien-être des vaches, réduction des coûts d’installation… sont parmi les nombreux avantages de ce concept cités par DeLaval.