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Guerre en Ukraine : des solutions pour maîtriser son coût alimentaire en élevage caprin

Avec en moyenne 570 g de concentrés utilisés pour produire un litre de lait en 2020 (source Inosys-Réseaux d’élevage) et une autonomie protéique de 47 %, les élevages caprins sont particulièrement sensibles aux hausses des prix de l'alimentation. L'institut de l'Elevage propose, de façon non exhaustive, des pistes de réflexion sur la conduite alimentaire du troupeau caprin afin d'atténuer les effets de la flambée des prix des matières premières.

La guerre en Ukraine : quels possibles impacts sur les filières ruminants et quels leviers pour atténuer les effets de la flambée des matières premières ?
© V. Hervé-Quartier

"Les élevages caprins sont parmi les plus impactés par la hausse des prix des intrants, et plus particulièrement par celle des grains et des oléagineux, exposent les conseillers de l'Institut de l'élevage en préambule du dossier consacré aux leviers pour atténuer les effets de la flambée des prix des intrants. En effet, les aliments achetés représentent à eux-seul la moitié de l’Ipampa, indice des prix des intrants pour la production de lait de chèvre. En janvier 2022, avant même la guerre en Ukraine et ses conséquences sur la flambée des prix, l’Ipampa aliments achetés affichait déjà une hausse de +14,3% d’une année sur l’autre (et +13,9% pour l’Ipampa global)."

"Au vu des prix atteints à ce jour, cette nouvelle envolée des intrants pourrait se traduire par une hausse importante et rapide sur le coût de production des ateliers caprins. Il n’existe pas de solution universelle. Chaque éleveur peut cependant activer un ou plusieurs leviers d’adaptation en fonction de la structure de son exploitation et de son système de production."

Pour consulter l'article complet sur les leviers en élevage caprin, cliquez ICI

Pour consulter la note de conjoncture : guerre en Ukraine : quels possibles impacts sur les filières ruminants ?, cliquez ICI.

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