La PAC verdit de nouveau
Le vote du Parlement européen a redonné une touche de vert au texte que la commission Agriculture de ce même Parlement avait voté en janvier. Au final, on revient à des mesures de verdissement proches de la proposition de la Commission européenne, à quelques nuances près tout de même.
Le verdissement de 30 % des aides directes est maintenu, avec une obligation pour toutes les exploitations de respecter les trois mesures de verdissement : diversification des cultures, maintien des herbages et présence de réservoirs écologiques. Pour autant, des assouplissements ont eu lieu, notamment sur ce dernier point : de 7 % des surfaces, on est passé à 5 %. De plus, le maintien des prairies permanentes devient obligatoire au niveau national et non plus à l’exploitation.
Le Parlement a limité les possibilités de recouplage des aides à 10 % de l’enveloppe nationale. Il a validé la proposition de Stéphane Le Foll de surprimer les cinquante premiers hectares, et a soutenu le maintien des quotas betteraviers jusqu’en 2020, ce qui satisfait la CGB.
Le verdissement de 30 % des aides directes est maintenu, avec une obligation pour toutes les exploitations de respecter les trois mesures de verdissement : diversification des cultures, maintien des herbages et présence de réservoirs écologiques. Pour autant, des assouplissements ont eu lieu, notamment sur ce dernier point : de 7 % des surfaces, on est passé à 5 %. De plus, le maintien des prairies permanentes devient obligatoire au niveau national et non plus à l’exploitation.
Le Parlement a limité les possibilités de recouplage des aides à 10 % de l’enveloppe nationale. Il a validé la proposition de Stéphane Le Foll de surprimer les cinquante premiers hectares, et a soutenu le maintien des quotas betteraviers jusqu’en 2020, ce qui satisfait la CGB.