Pas que la noix à la Senura
La Senura va diversifier ses espèces expérimentées et développer de nouvelles techniques. Avec dix hectares supplémentaires, la station iséroise, jusqu’alors spécialisée dans la noix, prévoit de planter des noisetiers, des amandiers et des pacaniers. Elle mènera également une étude sur la variété de noix Fernor en combinaison avec des porte-greffes : Juglans nigra, Juglans regia, des hybrides et sur ses propres racines. La Senura travaille aussi à l’utilisation de drones pour l’estimation de récolte et l’évaluation des dégâts dans les cultures après un sinistre. Elle a, par ailleurs, inauguré un laboratoire dédié à la recherche sur le colletotricum, maladie fongique du noyer et poursuit ses travaux concernant la lutte par confusion sexuelle contre le carpocapse.