Dans la Loire
Un robot pour automatiser le paillage
Dans la Loire
Le Gaec des Alouettes est le premier élevage caprin à utiliser un robot de paillage conçu par un éleveur de brebis laitières. Unique en son genre, il peut aussi distribuer les concentrés.

Les chèvres en lactation sont alimentées avec du fourrage vert, du foin et 1 kilo de concentré : 400 g d’orge et 300 g de maïs grain aplatis, 50 g de graine de tournesol, 250 g de correcteur azoté, 250 g d’aliment fibre énergie en début de lactation.
©
B. Griffoul

Grâce aux trois rotors, la paille peut être projetée sur une grande largeur (2,50 m à 6,00 m). Deux portes courbes, commandées par des vérins électriques, coulissent autour des rotors pour déterminer le côté d’éjection.
©
B. Griffoul

Le canal du robot de paillage peut recevoir des bottes de 60 à 90 cm d’épaisseur et jusqu’à 120 cm de largeur. Il peut être posé sur des tapis roulants de 60 à 90 cm de largeur.
©
B. Griffoul

Henri Bonnefous, concepteur du robot (au centre) avec Lionel et Nicolas Pascal. « Au départ, il y a eu beaucoup de mises au point à faire, disent les éleveurs. Mais, nous faisons confiance au concepteur qui est très disponible. »
©
B. Griffoul

Les chèvres en lactation sont alimentées avec du fourrage vert, du foin et 1 kilo de concentré : 400 g d’orge et 300 g de maïs grain aplatis, 50 g de graine de tournesol, 250 g de correcteur azoté, 250 g d’aliment fibre énergie en début de lactation.
©
B. Griffoul

Grâce aux trois rotors, la paille peut être projetée sur une grande largeur (2,50 m à 6,00 m). Deux portes courbes, commandées par des vérins électriques, coulissent autour des rotors pour déterminer le côté d’éjection.
©
B. Griffoul

Le canal du robot de paillage peut recevoir des bottes de 60 à 90 cm d’épaisseur et jusqu’à 120 cm de largeur. Il peut être posé sur des tapis roulants de 60 à 90 cm de largeur.
©
B. Griffoul

Henri Bonnefous, concepteur du robot (au centre) avec Lionel et Nicolas Pascal. « Au départ, il y a eu beaucoup de mises au point à faire, disent les éleveurs. Mais, nous faisons confiance au concepteur qui est très disponible. »
©
B. Griffoul