Filtres à roseaux : « Laisser la nature faire le travail »
Pour traiter les eaux blanches provenant de sa salle de traite et de sa fromagerie, Édouard Jaumouillé a fait le choix des filtres verticaux plantés de roseaux plus proches de ses valeurs.

De 90 cm de profondeur, le premier filtre est protégé d’une grille.
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Frédéric Pigot/Apap

À son installation en Auvergne, Édouard Jaumouillé a eu connaissance d’une race locale. Il a acheté un lot de chevrettes du Massif central.
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Frédéric Pigot/Apap

Les deux bassins de filtres plantés de roseaux se fondent dans leur environnement. L’écoulement des eaux traitées s’effectue par le fond du bassin d’où la nécessité d’un terrain en légère pente.
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Frédéric Pigot/Apap

Un fois par an, les roseaux secs des filtres doivent être éliminés.
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Frédéric Pigot/Apap

De 90 cm de profondeur, le premier filtre est protégé d’une grille.
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Frédéric Pigot/Apap

À son installation en Auvergne, Édouard Jaumouillé a eu connaissance d’une race locale. Il a acheté un lot de chevrettes du Massif central.
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Frédéric Pigot/Apap

Les deux bassins de filtres plantés de roseaux se fondent dans leur environnement. L’écoulement des eaux traitées s’effectue par le fond du bassin d’où la nécessité d’un terrain en légère pente.
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Frédéric Pigot/Apap

Un fois par an, les roseaux secs des filtres doivent être éliminés.
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Frédéric Pigot/Apap