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« Plus d’autonomie alimentaire grâce aux valorisateurs de fourrages »
Pour ses 800 chèvres laitières, le Gaec des Jumeaux a abandonné la ration sèche au profit de l’ensilage de maïs. Les marges et l’autonomie de l’élevage ont ainsi progressé. Les valorisateurs Sanders ont contribué à cette transition, avec des fourrages riches et appétents.
Pour ses 800 chèvres laitières, le Gaec des Jumeaux a abandonné la ration sèche au profit de l’ensilage de maïs. Les marges et l’autonomie de l’élevage ont ainsi progressé. Les valorisateurs Sanders ont contribué à cette transition, avec des fourrages riches et appétents.
"Nous voulions réduire nos achats de concentrés et proposer des fourrages riches pour nos chèvres. Après avoir stoppé la ration sèche et ensilé nos premiers maïs, nous avons testé les valorisateurs de fourrages Sanders" expliquent Sébastien et Thibaut Teyssedre. Leur objectif : obtenir le fourrage le plus appétent possible. Avec leur petit rumen, les chèvres se révèlent particulièrement sensibles à la qualité de leur ration.
Un maïs qui ne chauffe pas à l’auge
Installé dans le Lot-et-Garonne, le Gaec des Jumeaux cultive des maïs récoltés dès la fin du mois de juillet. Cette précocité limite le recours à l’irrigation et les fortes chaleurs estivales. Les deux frères subissent régulièrement des températures caniculaires. Les valorisateurs Sanders leur permettent de concevoir un silo et proposer un fourrage frais, même en pleine chaleur. Thibaut Teyssedre précise : "On monte régulièrement à 40 C° à l’ombre dans notre département. À l’auge et au front d’attaque, nous avons vu la différence avec les valorisateurs".
Gain économique grâce à une productivité en hausse
Cette impression visuelle est confirmée à la traite des chèvres. Selon les éleveurs, chaque bête produit du lait supplémentaire. "Nous avons tenté de nous passer des valorisateurs. Le fourrage a chauffé à l’auge. Nous avons également observé une baisse de la production laitière", insiste Thibaut Teyssedre.
Des valorisateurs efficaces avec certaines préconisations
Afin d’optimiser l’application des valorisateurs, les frères Teyssedre s’appuient sur leur technicien Sanders. Ce dernier a d’abord réalisé un diagnostic de leur silo. "Sa conception est l’un des éléments de la réussite. Le tassage et la qualité de bâche ne doivent pas être négligés. Nous ensilons également à 28-30 % de matière sèche pour avoir un fourrage au meilleur stade. Le valorisateur Sanders n’est pas une solution miracle, il s’intègre dans une démarche globale", insistent les éleveurs. Du semis à la récolte jusqu’à la distribution du maïs, Sébastien et Thibaut veulent donc "valoriser" leur travail.
AVIS D'EXPERT
« Une économie de 22 €/T de MS »
Quels gains peuvent espérer les éleveurs de chèvres avec un valorisateur de fourrages ?
Avec un valorisateur, les pertes visibles passent de 5% à 0% et les pertes invisibles (gaz, valeurs alimentaires) de 15% à 5%. Ces gains permettent une économie de 22 €/T de MS de maïs. Pour un euro investi, l’éleveur gagne donc deux à trois euros. Le principal effet du conservateur n’est pas visuel, quand le silo est bien fait. On travaille sur l’invisible, à savoir sur les valeurs nutritionnelles. Ce travail se répercute sur la santé du troupeau, surtout avec les chèvres qui sont particulièrement sensibles aux mycotoxines. Si un éleveur veut limiter son taux de renouvellement, il doit travailler sur la qualité du fourrage.
Comment fonctionnent ces valorisateurs ?
Les valorisateurs de fourrages sont des solutions naturelles à base de bactéries ou d’associations de bactéries. Elles permettent de maîtriser les différentes phases d’ensilages : aérobie, transition, fermentation acide, phase de stabilisation. Nous avons plusieurs produits adaptés aux différents fourrages et objectifs de l’éleveur. Un des valorisateurs est agréé en agriculture biologique.
Au moment du choix du valorisateur, quelles questions doit se poser l’éleveur ?
C’est un choix qui ne s’improvise pas. Les techniciens Sanders accompagnent cette réflexion. Nous posons plusieurs questions à l’éleveur. Pour quel type de fourrage ? À quelle date est programmée l’ouverture du silo ? Quel est le stade de récolte ou le degré de maturité souhaité pour l’ensilage ?
Comment se déroule l’accompagnement des équipes Sanders ?
Dans un premier temps, nous réalisons un diagnostic des pratiques des éleveurs et une analyse de la conservation de leur silo actuel avec la méthode Valorscreen. Ensuite, nous proposons des conseils pour la réalisation du chantier. Enfin, nous analysons la conservation et valeurs alimentaires du nouveau silo.