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Maîtrise sanitaire collective en élevage ovin
Une implication à poursuivre, des outils pour la maîtrise sanitaire collective

Ce 2 avril 2012, la section ovine de GDS Creuse s'est réunie pour faire le point sur le virus de Schmallenberg et sur les actions sanitaires mises en place.

La section ovine de GDS Creuse s'est réunie ce 2 avril afin de faire un point sur le virus de Schmallenberg, sur le bilan et les perspectives des actions mises en place suite au groupe de travail de décembre 2010, de présenter le kit régional avortement de la CRSSA et la formation éleveur infirmier de son élevage.

La maladie de Schmallenberg, une large diffusion, des atteintes variables, en cas de suspicion, un contact à prendre immédiatement avec son vétérinaire sanitaire
Au 30 mars 2012, 1 048 cheptels (90 % ovins), dans 46 départements, ont été identifiés avec de la maladie de Schmallenberg. Dans chaque élevage confirmé atteint (résultat PCR positif), une enquête descriptive est réalisée par le GDS. Les premiers résultats (traitement du 30 mars portant sur 389 élevages, 384 lots ovins, 7 lots caprins de 38 départements) apportent les informations suivantes :
- 15 % des brebis agnelées présentent des troubles pouvant être liés au virus.
- 15 % des agneaux présentent des atteintes (malformation, mortinatalité).
- 12 % des brebis à « problème » meurent dans les 15 jours suite à un agnelage difficile.
- Ces chiffres sont des moyennes, il existe une forte variabilité suivant les élevages.
- Parmi les brebis à « problème », 33 % ont mis bas deux agneaux ou plus dont l'un d'entre eux apparait normal.
Le principe de prise en charge forfaitaire des pertes sanitaires consécutives au passage du virus Schmallenberg (SBV) par la CSSA a été décidé par le Conseil d'administration de GDS France. Les modalités pratiques, notamment de niveau de prise en charge, restent à définir. Pour pouvoir en bénéficier, l'élevage devra avoir fait l'objet d'une suspicion, d'où l'importance de la déclaration auprès de son vétérinaire sanitaire.

[...]

La suite est à lire dans la Creuse agricole et rurale du 20 avril 2012.

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