Aller au contenu principal

Un besoin de règles spécifiques à chaque espèce

Des critères spécifiques à chaque espèce plutôt que de grandes orientations communes. C’est ce qu’attendent les parties prenantes du secteur de l’élevage avec la révision en cours de la législation européenne sur le bien-être animal, constate une étude du Parlement européen.

Des critères spécifiques à chaque espèce plutôt que de grandes orientations communes. C’est ce qu’attendent les parties prenantes du secteur de l’élevage avec la révision en cours de la législation européenne sur le bien-être animal, constate une étude du Parlement européen.
Des critères spécifiques à chaque espèce plutôt que de grandes orientations communes. C’est ce qu’attendent les parties prenantes du secteur de l’élevage avec la révision en cours de la législation européenne sur le bien-être animal, constate une étude du Parlement européen.
© François d’Alteroche/Illustration

Dans une étude présentée le 13 juillet aux eurodéputés de la commission de l’Agriculture, le service de recherche du Parlement européen confirme que les parties prenantes du secteur de l’élevage (agriculteurs, transformateurs mais aussi ONG) considèrent la législation en place inadéquate car à la fois trop vague et rigide. Cinq directives couvrent actuellement l’ensemble de la réglementation en la matière : une générale portant sur toutes les espèces d’animaux d’élevage, et quatre spécifiques pour les porcs, les veaux, les poulets de chair et les poules pondeuses.
La Commission européenne s’est lancée dans un réexamen de l’ensemble de ces textes et une proposition de révision sera présentée en 2023 sur la base d’une analyse d’impact. De plus, les ministres de l’Agriculture des Vingt-sept ont demandé en décembre 2020 à Bruxelles de préparer un dispositif européen harmonisé d’étiquetage volontaire du bien-être animal pour valoriser les pratiques allant au-delà des exigences réglementaires de base. Des propositions législatives en la matière pourraient être présentées dès la fin de l’année.

Les plus lus

Comment la France peut aider le Maroc à repeupler son cheptel bovin et ovin ?

Sept ans d'une sécheresse redoutable, couplée aux soubresauts de la géopolitique ont fragilisé l'élevage marocain, si bien que…

Les associés du Gaec de la Cartalade avec Emmanuel Grange de chez DeLaval devant les 3 robots fraichement installés.
3 robots de traite nouvelle génération pour gagner en souplesse de travail

À Mercoeur, les 5 associés du Gaec de la Cartalade ont fait le choix de traire un troupeau de 150 vaches montbéliardes à…

vaches de races limousines dans un pré.
Aide au vêlage : 200 € par vêlage financés par la Région Auvergne-Rhône-Alpes

Destinée à encourager la recapitalisation du cheptel bovin viande dans la région, cette aide au vêlage ouvrira à partir de…

“Je veux pouvoir aller aux vaches en baskets !”

Chez les Noyer, à Saint-Martin-Cantalès, on ne lésine pas avec la propreté des vaches, de la stabulation et de la salle de…

vaches charolaises dans un pré.
Provision élevage : Comment les éleveurs peuvent bénéficier de cette mesure fiscale obtenue par le syndicalisme FNSEA-JA ?

La nouvelle provision élevage, déductible du résultat imposable, peut permettre aux éleveurs bovins d’économiser, dans les…

Un groupe de personnes au milieu de véhicules de pompiers.
Photographie, le quotidien mis en scène

Le jeune photographe cantalien, Dorian Loubière, poursuit sa série de mises en scène des années 1950. Dernière prise de vue,…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière