Trichine et sanglier : l’analyse, premier principe de précaution !
Chasser signifie consommer le gibier. Il s’agit là d’une activité humaine vieille comme l’humanité. Or ledit gibier peut être porteur de maladies pouvant être transmises au consommateur, au mangeur. Ainsi de la trichine « hébergée » par le sanglier qui peut engendrer une maladie que l’on appelle la trichinellose. Petite revue de détails.
La trichine est un minuscule parasite (de 0,8 à 1 mm) qui peut infester les muscles de Sus scrofa sans que celui-ci n’en montre le moindre symptôme. Dès lors, seule une analyse effectuée par un laboratoire agréé peut déceler la présence des larves.
La trichine peut se transmettre à l’homme qui ingère une viande contaminée. Il existe donc un réel risque alimentaire.
Pour le prévenir, il convient de prendre quelques précautions. La plus sûre, la plus efficace consiste à faire analyser la langue du sanglier.
Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1476, du 20 septembre 2018, en page 5.