Se positionner sur des formations spécifiques et très attractives
Avec 1 368 étudiants, Aurillac continue de développer son antenne universitaire avec le soutien inconditionnel du Département et de la Caba.
À l’image de l’IUT Génie biologique, le pôle universitaire d’Aurillac propose des formations spécifiques, voire uniques.
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J.-M. A.
L’enseignement supérieur est un dossier porté unanimement par l’ensemble des élus du département. Le Conseil général, la communauté d’agglomération du bassin d’Aurillac (Caba) et la Ville d’Aurillac sont tous convaincus du bien fondé de leur démarche. Forte aujourd’hui de 1 368 unités, la vie étudiante s’est installée en préfecture cantalienne avec la ferme intention de poursuivre son développement et son attractivité par des formations spécifiques et de qualité. “Le nombre d’étudiants est en augmentation. C’est donc un motif de grande satisfaction pour nous, se félicite Jacques Mézard, président de la Caba. De plus, ces étudiants viennent, pour la moitié, de départements hors Cantal. C’est dire si les formations proposées attirent de nombreux jeunes. Et comme les taux de réussite sont excellents, c’est dire si l’enseignement supérieur a sa place sur le territoire. Bien sûr, tout n’est pas parfait, mais on essaye de faire de notre mieux pour que la vie étudiante soit la meilleure possible”.Des formations uniques en France
Dans cette analyse, l’extension de la résidence universitaire, le restaurant universitaire, les nouveaux services du Crous et la spécificité de certaines formations (IUT Génie biologique option bio-informatique unique en France ; IUT GEA avec une licence professionnelle en gestion des ressources humaines unique en Auvergne et dans le grand Sud-Ouest) y sont pour beaucoup. D’ailleurs, c’est le point sur lequel insiste Denis Richard, directeur de l’antenne universitaire : “C’est bien la preuve que les sites délocalisés fonctionnent bien. Ils sont même en avance sur les grands centres universitaires urbains. La formation, la recherche et l’innovation, voilà le triptyque indispensable à tout développement car il est source de création d’activités économiques sur un territoire”. Et le Conseil général, propriétaire du site universitaire, ne le sait que trop bien. Louis-Jacques Liandier, vice-président du Département, rappelle que depuis le début de l’année, la collectivité a investi “345 000 euros dans ces bâtiments. Et le plan de développement à venir mettra encore l’accent sur l’IUT”. Cet engoument collectif se traduira dans les mois à venir par l’arrivée de nouvelles formations, l’optimisation des salles de cours et de nouveaux travaux sur le site afin qu’Aurillac mène l’offensive et soit encore plus attractif.
Dans cette analyse, l’extension de la résidence universitaire, le restaurant universitaire, les nouveaux services du Crous et la spécificité de certaines formations (IUT Génie biologique option bio-informatique unique en France ; IUT GEA avec une licence professionnelle en gestion des ressources humaines unique en Auvergne et dans le grand Sud-Ouest) y sont pour beaucoup. D’ailleurs, c’est le point sur lequel insiste Denis Richard, directeur de l’antenne universitaire : “C’est bien la preuve que les sites délocalisés fonctionnent bien. Ils sont même en avance sur les grands centres universitaires urbains. La formation, la recherche et l’innovation, voilà le triptyque indispensable à tout développement car il est source de création d’activités économiques sur un territoire”. Et le Conseil général, propriétaire du site universitaire, ne le sait que trop bien. Louis-Jacques Liandier, vice-président du Département, rappelle que depuis le début de l’année, la collectivité a investi “345 000 euros dans ces bâtiments. Et le plan de développement à venir mettra encore l’accent sur l’IUT”. Cet engoument collectif se traduira dans les mois à venir par l’arrivée de nouvelles formations, l’optimisation des salles de cours et de nouveaux travaux sur le site afin qu’Aurillac mène l’offensive et soit encore plus attractif.