Les travaux d’aménagement de la déviation d’Arpajon commencent
Les travaux d’aménagement de la déviation d’Arpajon-sur-Cère viennent de commencer. Sa mise en service est prévue pour l’automne 2008, en même temps que l’ouverture d’une troisième voie montante dans la côte de Senilhes.
Le chantier qui vient d’être lancé consistera à construire six ouvrages hydrauliques sur le tracé de la future déviation, longue de 1 110 mètres.
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L'Union du Cantal
Ça y est, les premiers engins de chantier sont à l’oeuvre sur le tracé de la future déviation d’Arpajon-sur-Cère, annonce le docteur Jean-Pierre Delpont, conseiller général du canton. Il avait fait de ce projet, destiné à désengorger le bourg d’Arpajon et faciliter la circulation dans ce secteur, l’une des priorités de son mandat. Deux ans et demi de démarches auront été nécessaires pour mener à bien ce dossier sur le plan administratif et réaliser les acquisitions foncières. Longue de 1 110 mètres, la nouvelle voie reliera la route départementale 920, à hauteur de la scierie Bonhomme au carrefour du Bousquet (au croisement des routes du village d’entreprises et du château de Conros).
Trois phases de travaux jusque fin 2008
Trois phases de travaux sont prévues. La première, qui vient de débuter, consistera à construire six ouvrages hydrauliques de 9 mètres d’ouverture sur 4 mètres de haut. Le tracé se situe en effet en zone inondable : la surélévation de la chaussée permettra de la protéger des éventuelles crues de la Cère. Confié aux entreprises Matière et Bruel, ce premier chantier s’achèvera au second trimestre 2007. Parallèlement, en janvier 2007, débuteront les travaux de construction d’un pont de franchissement de la Cère. Confiés au groupement d’entreprises Lagarrigue-Matière-Soulier, ils viendront à terme à l’automne 2007. Enfin, la troisième phase du chantier comprendra les travaux de terrassement et d’aménagement des chaussées. Ils utiliseront les déblais provenant d’un autre chantier, celui de la création d’une troisième voie montante dans la côte de Senilhes. Il restera enfin à créer deux carrefours giratoires à chaque extrémité.
Un chantier de 6,6 millions d’euros
Le coût de ces deux chantiers, pris en charge par le Conseil général, ressort à 6,6 millions d’euros. Le Conseil régional d’Auvergne financera à hauteur de 50 % la première tranche, chiffrée à 4 millions d’euros. “Je tiens à remercier les propriétaires qui ont accepté de mettre les terrains à disposition malgré les contraintes”, commente le docteur Delpont, qui associe à la réussite du projet le maire d’Arpajon, Roger Destannes, les services techniques du Conseil général, le président ainsi que les élus de l’Assemblée départementale qui ont accepté de financer un projet “attendu depuis plus de vingt ans par la population d’Arpajon, du canton et au delà”.
Trois phases de travaux jusque fin 2008
Trois phases de travaux sont prévues. La première, qui vient de débuter, consistera à construire six ouvrages hydrauliques de 9 mètres d’ouverture sur 4 mètres de haut. Le tracé se situe en effet en zone inondable : la surélévation de la chaussée permettra de la protéger des éventuelles crues de la Cère. Confié aux entreprises Matière et Bruel, ce premier chantier s’achèvera au second trimestre 2007. Parallèlement, en janvier 2007, débuteront les travaux de construction d’un pont de franchissement de la Cère. Confiés au groupement d’entreprises Lagarrigue-Matière-Soulier, ils viendront à terme à l’automne 2007. Enfin, la troisième phase du chantier comprendra les travaux de terrassement et d’aménagement des chaussées. Ils utiliseront les déblais provenant d’un autre chantier, celui de la création d’une troisième voie montante dans la côte de Senilhes. Il restera enfin à créer deux carrefours giratoires à chaque extrémité.
Un chantier de 6,6 millions d’euros
Le coût de ces deux chantiers, pris en charge par le Conseil général, ressort à 6,6 millions d’euros. Le Conseil régional d’Auvergne financera à hauteur de 50 % la première tranche, chiffrée à 4 millions d’euros. “Je tiens à remercier les propriétaires qui ont accepté de mettre les terrains à disposition malgré les contraintes”, commente le docteur Delpont, qui associe à la réussite du projet le maire d’Arpajon, Roger Destannes, les services techniques du Conseil général, le président ainsi que les élus de l’Assemblée départementale qui ont accepté de financer un projet “attendu depuis plus de vingt ans par la population d’Arpajon, du canton et au delà”.