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Le pôle agri-alimentaire de Saint-Julien-des-Points a été inauguré

Vendredi 26 novembre, les élus locaux et du département, ainsi que le conseil départemental ont inauguré le pôle agri-alimentaire de Saint-Julien-des-Points.

Vendredi 26 novembre, les élus locaux et du département, ainsi que le conseil départemental ont inauguré le pôle agri-alimentaire de Saint-Julien-des-Points.
Vendredi 26 novembre, les élus locaux et du département, ainsi que le conseil départemental ont inauguré le pôle agri-alimentaire de Saint-Julien-des-Points.
© Conseil départemental

Après plus d’un an de travaux, le pôle agri-alimentaire de Saint-Julien-des-Points va pouvoir accueillir des producteurs locaux. « Le territoire du sud Lozère dispose désormais d’un outil structurant pour répondre aux besoins des éleveurs et producteurs pour pouvoir transformer leurs produits localement », s’est réjoui la présidente du conseil départemental, Sophie Pantel lors de l’inauguration. Porté par la communauté de communes des Cévennes-au-Mont-Lozère et le syndicat des hautes vallées cévenoles depuis 2017 et dont les travaux ont débuté en 2019, le projet a été accompagné par le conseil départemental dans le cadre de l’aide à l’immobilier d’entreprise, pour les équipements fixes (cloisons isothermes, froid industriel, plonges, rail de manutention, soit tout ce qui relève de la compétence de la communauté de communes), à hauteur de 30 000 €. La région accompagne aussi ce projet, notamment la partie de transformation agroalimentaire, dans le cadre du contrat agroviti stratégique, adopté par la région Occitanie en 2017 pour « des besoins d’investissement ponctuels des PME agroalimentaires ».
Le pôle agri-alimentaire compte quatre ateliers : une brasserie, un local pour la transformation de châtaignes, une partie pour l’abattage de volailles et de la découpe et transformation de viandes. Pour la présidente du conseil départemental, « ce pôle va permettre de développer de nouvelles filières et de structurer les filières existantes, toujours avec l’objectif de relocaliser l’agriculture et l’alimentation, et de créer de la valeur ajoutée sur le territoire. C’est aussi un outil grâce auquel des emplois directs et indirects seront confortés et développés ». Ce chantier, qui au total devrait coûter plus de 2,7 millions d’euros, va permettre à quatre productions différentes de venir transformer leurs produits sur place.

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