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Le Civam Empreinte lauréat d’un appel à projet

Le Civam Empreinte, créé en 2007, est l’un des neuf réseaux d’agriculteurs sélectionné suite à l’appel à projet lancé par la Fondation Daniel et Nina Carasso, dédié à la « diffusion massive de l’agroécologie ».

Le Civam Empreinte, créé en 2007, est l’un des neuf réseaux d’agriculteurs sélectionné suite à l’appel à projet lancé par la Fondation Daniel et Nina Carasso, dédié à la « diffusion massive de l’agroécologie ».
Le Civam Empreinte, créé en 2007, est l’un des neuf réseaux d’agriculteurs sélectionné suite à l’appel à projet lancé par la Fondation Daniel et Nina Carasso, dédié à la « diffusion massive de l’agroécologie ».
© Marion Ghibaudo

Cet appel à projet, lancé en 2020, et dont les neuf lauréats ont été dévoilés en décembre de la même année a reçu plus de 80 candidatures. Le Civam empreinte est donc l’un des récipiendaires ; ce réseau particulier est à cheval sur l’Aveyron, l’Héraut, le Gard et la Lozère et compte une vingtaine d’adhérents dans les quatre départements.
« Pour cet appel à projet, nous avons décidé de travailler autour de la transmission des savoirs et savoir-faire aux bergers dans les filières ovines lait et viande », détaille Didier Gomès, animateur au Civam Empreinte et chef de file du projet. En Lozère, une dizaine d’éleveurs devraient participer à l’initiative, d’une manière ou d’une autre.
Être lauréat de cet appel à projet va permettre au Civam Empreinte de compléter les financements qu’ils avaient sollicités auprès du Casdar Arpida (80 % de financement). « La fondation Daniel et Nina Carasso défend les mêmes valeurs que nous, c’est pour ça que nous nous sommes lancés », souligne Didier Gomès.
Cet appel à projet particulier, qui devrait être renouvelé sur trois ans (2020, 2021, 2022), « vise à faciliter la diffusion de pratiques agroécologiques vers des collectifs d’agriculteurs intéressés et motivés par la transition agroécologique et souhaitant échanger avec leurs pairs avant de passer à l’action », selon les organisateurs au sein de la fondation. Cette dernière va « soutenir financièrement les projets jusqu’à hauteur de 30 000 euros par an maximum, et prendre par exemple en charge la logistique des échanges, leurs animations, l’accompagnement des agriculteurs qui souhaitent tester des pratiques agroécologies, le suivi des projets etc. », ont noté les organisateurs.

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