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Journées laitières : un show de trois jours à Aumont-Aubrac

Du 21 au 23 avril, sous la halle d'Aumont-Aubrac, auront lieu les Journées laitières. Une belle édition, qui devrait réunir autant d'éleveurs que de visiteurs, et permettra de montrer le dynamisme du secteur laitier dans le département.

Du 21 au 23 avril, sous la halle d'Aumont-Aubrac, auront lieu les Journées laitières. Une belle édition, qui devrait réunir autant d'éleveurs que de visiteurs, et permettra de montrer le dynamisme du secteur laitier dans le département.
Du 21 au 23 avril, sous la halle d'Aumont-Aubrac, auront lieu les Journées laitières. Une belle édition, qui devrait réunir autant d'éleveurs que de visiteurs, et permettra de montrer le dynamisme du secteur laitier dans le département.
© Nancy Sagnet/Archives

Cinq races seront réunies sous la halle : Montbéliardes, brunes, Simmental, Prim'Holstein et Abondance, pour que les éleveurs puissent s'affronter sur le ring avec leurs bêtes. En 2019, date de ce dernier concours interdépartemental, plus de 200 animaux s'étaient retrouvés sous la grande halle, amenés par 82 éleveurs. En plus des éleveurs lozériens qui sont en compétition chaque année lors des miss laitières, tous les quatre ans, les Journées laitières sont ouvertes aux éleveurs du Cantal et de la région Occitanie. Ainsi, les différents concours sont d'envergure départementale, interdépartementale et régionale. Pour cette nouvelle édition, 93 élevages sont déjà inscrits aux concours de race. Les organisateurs, chambre d'agriculture en tête, appuyés par le Comel (comité d'organisation des manifestations d'élevage) et les présidents de syndicat de race espèrent faire aussi bien, si ce n'est mieux, pour cette édition 2023. « C'est un bel événement, qui permet de promouvoir l'élevage lozérien, et surtout l'élevage laitier », note Michaël Meyrueix, le président du Comel. « Ce sont des moments conviviaux, et professionnels avec les concours, mais qui permettent aussi aux éleveurs lozériens de situer leurs animaux par rapport aux autres élevages, hors département. Et de montrer la dynamique laitière départementale ». Selon le président, ce concours est l'occasion de se rendre compte que les éleveurs lozériens « ne sont pas si mal classés que ça, notamment au niveau génétique et dans la qualité des animaux », malgré les difficultés posées par une production en montagne, comparée « aux élevages de Bretagne, par exemple ».
En attendant le jour J, les concurrents préparent leurs bêtes. Des concurrents jeunes, ou qui se lancent pour la première fois. « Cela permet de leur mettre le pied à l'étrier », note le président du Comel, qui se satisfait de voir les jeunes agriculteurs aussi présents. Ainsi que les futures générations, puisque les élèves des lycées agricoles du département seront sur place lors de l'événement pour donner un coup de main aux éleveurs et à l'organisation.

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