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Éric Derivaux ravi par la mini-volière

Déjà producteur de poulettes au sol avec SCH group à Westhouse, Éric Derivaux a allongé un de ses deux bâtiments en 2018 pour y caser des mini-volières Bolegg starter. Sur 15 mètres de large, il a placé trois rangées de 2,6 m de large (2,7 m de hauteur) avec 4 couloirs de 1,8 m. L’ensemble contient 40 000 poulettes se répartissant en 20 oiseaux par mètre carré développé et 40 dormant par mètre carré de système. Une jeune poulette peut explorer un espace de près de 7 m3 (1), en disposant de trois niveaux (bas, intermédiaire relevable, haut) équipés de deux chaînes plates et de trois lignes de pipettes, ainsi que de perchoirs. Arrivé au troisième lot, Éric Derivaux est emballé par son choix. « Je réalise mon rêve. J’ai pu augmenter ma capacité de production. Par rapport à la poulette au sol, j’apprécie beaucoup le côté ordonné. Il y a un meilleur confort de travail pour les vaccinations et les enlèvements. Les poulettes sont plus faciles à travailler qu’au sol. En revanche, il y a plus de poussière. » L’éleveur commence à relever le plateau intérieur dès le douzième jour, pour qu’à trois semaines les poulettes occupent tout le volume de la mini-volière. « J’ouvre vers six semaines au plus tard, en étirant le perchoir extérieur et posant une rampe grillagée tous les trois modules. Elles sortent assez vite toutes seules et il ne faut pas les forcer », remarque Éric. L’aide à la remontée dure moins d’une semaine, en y passant une vingtaine de minutes à deux. Après, le suivi est essentiellement de la surveillance ponctuée par les vaccinations et les interventions. Le lot s’achève par le nettoyage qu’il réalise lui-même. Il l’estime à 80 heures pour sortir les fientes au sol, dépoussiérer et laver.

(1) 1,2 m3 dans la volière à rangées fixes de Christophe Haas.

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