De nombreux parasites des plantes progressent de 3 km par an
C’est, selon une étude publiée par des chercheurs de l’université anglaise d’Exeter, la progression annuelle moyenne sur 60 ans de plusieurs centaines de parasites dans le monde. Les bébêtes profitent du transport de marchandises, mais aussi du réchauffement climatique qui leur permet de s’installer dans des zones auparavant hostiles, à l’instar du doryphore de la pomme de terre qui a élu domicile en Scandinavie, ou encore de la progression vers le Nord de la France de la chenille processionnaire du pin.