Ils ont atteint leur autonomie protéique
L'autonomie protéique des fermes laitières françaises était de 70% en moyenne en 2020.
Chercher à l'améliorer répond à différents enjeux : réduire son exposition aux flambées de prix, diminuer ses émissions de gaz à effet de serre, éviter la déforestation importée.
Mais le 100 % autonome peut engendrer surcoût, surcharge de travail et baisse de productivité laitière. C'est davantage un optimum qui est à rechercher.
De multiples leviers d'amélioration sont mobilisables dans tous les systèmes.
Pour progresser, il est difficile de maintenir la productivité laitière par vache et la surface fourragère augmente souvent.
Vous trouverez dans ce dossier des stratégies d'élevages non extensifs qui ont réussi à gagner en autonomie protéique en respectant leurs contraintes et objectifs.