Fromage de chèvre
Les fabrications industrielles toujours dynamiques
Fromage de chèvre
Les tonnages de fromages de chèvre produits en octobre 2005 ont été en augmentation de plus de 7 % par rapport à 2004. Ils ont donc continué de progresser fortement en fin d´année 2005. En tout, sur les dix premiers mois de l´année, les tonnages cumulés, 66 000 tonnes, ont augmenté de plus de 6 %. Sur la même période en 2004, la croissance par rapport à 2003 avait été inférieure à 4 %. Cette accélération des fabrications de fromages de chèvre en 2005 est intervenue alors que, à l´inverse, en vache elles régressaient d´environ 2 %, et celles de brebis restaient stables.
Ce sont, comme d´habitude, les bûches et bûchettes qui réalisent les plus fortes progressions, de plus de 7 % sur 10 mois en 2005. Elles finissent par représenter respectivement 12 % et 40 % de l´ensemble des fabrications. On assiste aussi à une percée des fromages frais traditionnels, 9 % des tonnages, en croissance de 15 % après une légère régression en 2004. En revanche, les crottins, 5 % de tonnages, ne progressent que de 2 %.
Source : Onilait |
Les tonnages de fromages de chèvre produits en octobre 2005 ont été en augmentation de plus de 7 % par rapport à 2004. Ils ont donc continué de progresser fortement en fin d´année 2005. En tout, sur les dix premiers mois de l´année, les tonnages cumulés, 66 000 tonnes, ont augmenté de plus de 6 %. Sur la même période en 2004, la croissance par rapport à 2003 avait été inférieure à 4 %. Cette accélération des fabrications de fromages de chèvre en 2005 est intervenue alors que, à l´inverse, en vache elles régressaient d´environ 2 %, et celles de brebis restaient stables.
Ce sont, comme d´habitude, les bûches et bûchettes qui réalisent les plus fortes progressions, de plus de 7 % sur 10 mois en 2005. Elles finissent par représenter respectivement 12 % et 40 % de l´ensemble des fabrications. On assiste aussi à une percée des fromages frais traditionnels, 9 % des tonnages, en croissance de 15 % après une légère régression en 2004. En revanche, les crottins, 5 % de tonnages, ne progressent que de 2 %.