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Repenser ses conditions de travail

Jeudi 24 novembre, sur l'exploitation d'Albert Tichit, a eu lieu une journée sur le thème « De l'astuce à l'investissement : comment adapter et améliorer ses conditions de travail ? » organisée par la chambre d'agriculture et le GIE Occitanie Élevage.

Jeudi 24 novembre, sur l'exploitation d'Albert Tichit, a eu lieu une journée sur le thème « De l'astuce à l'investissement : comment adapter et améliorer ses conditions de travail ? » organisée par la chambre d'agriculture et le GIE Occitanie Élevage.
Jeudi 24 novembre, sur l'exploitation d'Albert Tichit, a eu lieu une journée sur le thème « De l'astuce à l'investissement : comment adapter et améliorer ses conditions de travail ? » organisée par la chambre d'agriculture et le GIE Occitanie Élevage.
© Marion Ghibaudo

Installé sur la commune de la Graillouse (Antrenas), Albert Tichit est exploitant individuel. Après un grave accident en 2007, il a repensé toute son organisation de travail pour pouvoir continuer à exercer ce métier qu'il aime tant : celui d'éleveur. « C'était simple : soit je trouvais les moyens d'aménager mon bâtiment, soit je changeais de métier », explique sans fard l'agriculteur. En 1981, il reprend l'exploitation familiale en Gaec avec son frère. À l'époque, les deux éleveurs, qui possèdent un troupeau d'Aubrac, en mènent la moitié en croisées. Depuis 2007, Albert Tichit a infléchi sa stratégie pour se concentrer sur les Aubrac en race pure et possède 80 mères. « En race pure, car je trouve qu'elles ont des facilités de vêlage. Et puis, ça permet de valoriser mon troupeau en reproducteur ». Cette journée du 24 novembre est l'occasion pour lui de faire passer un message qu'il trouve important : « ce n'est pas parce qu'on est exploitant individuel qu'on ne peut pas rebondir ».

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