Aller au contenu principal

L'Entente causses et Cévennes prépare son second plan de gestion

À l'occasion du renouvellement de son plan de gestion, l'Entente causses et Cévennes a organisé des réunions publiques pour mieux y intégrer les attentes des habitants du territoire.

À l'occasion du renouvellement de son plan de gestion, l'Entente causses et Cévennes a organisé des réunions publiques pour mieux y intégrer les attentes des habitants du territoire.
À l'occasion du renouvellement de son plan de gestion, l'Entente causses et Cévennes a organisé des réunions publiques pour mieux y intégrer les attentes des habitants du territoire.
© Entente causses et Cévennes

« Nous nous sommes aperçus qu'il y a un manque d'appropriation par la population de l'Entente causses et Cévennes », a pointé Morgane Costes Marre pour expliquer l'envie des employés de l'Entente de discuter avec les habitants. Car si ces derniers savent qu'ils habitent un territoire d'exception, ils ne savent en définir les frontières, ni ce qui fait la particularité de ce bien.
Alors que leur premier plan de gestion arrive à son terme en décembre (2015-2021), et que l'Entente fête les dix ans de l'inscription du territoire des causses et Cévennes auprès de l'Unesco, les acteurs ont décidé de remettre les choses à plat.
Le nouveau plan de gestion, sur lequel l'Entente travaille depuis octobre 2020, a permis de mettre en avant des points « auxquels nous n'avions pas forcément pensé lors de l'écriture du premier plan, a détaillé la directrice. Notamment, dans les groupes de travail, l'une des choses qui est ressortie est ce manque d'appropriation. »
Pour remédier à ça, l'Entente a donc décidé d'organiser des causeries : une consultation publique moins le côté formel. Pour rendre l'exercice ludique, l'Entente a engagé l'association Passe-Muraille, spécialisée dans la médiation, et le comédien Emmanuel Guyot pour accompagner les débats. « Des idées intéressantes ont émergé sur ce que les gens souhaitent pour l'avenir du territoire », s'est satisfait la directrice.
Si le premier plan de gestion s'est déroulé sur six ans, le second devrait rester dans le même ordre d'idées : huit ans au maximum. Et devrait être effectif dès 2022, « il passe en commission de validation au mois de janvier 2022 », a noté Morgane Costes Marre.

Les plus lus

Alexandre Mirman dans sa bergerie
Installer une cuisine à la ferme, un investissement à réfléchir

Alexandre Mirman, éleveur de brebis laitières au Massegros, en a installé une en 2016. Presque dix ans plus tard, le bilan est…

pauline garcia formatrice et éthologue donne une formation sur le bien-être animal dans un élevage du Puy-de-Dôme
Bien-être animal : créer des bâtiments adaptés à leur perception

Le bien-être animal est de plus en plus pris en compte dans la conception et la rénovation des bâtiments d'élevage. Pauline…

Portrait de Marion Andrieu
Dakar, Marion, déesse de la piste ?

Vingt ans après son père, la Murataise Marion Andrieu participera au Dakar 2025, en course, à bord d’un camion d’assistance…

Carte d'attribution des ATM ruminants au 1er janvier 2025 en Creuse.
Équarrissage : du nouveau en Creuse

Changement d’opérateur de collecte sur une partie de la Creuse à partir du 1er janvier 2025

La résistance de la Sopa a payé

En conflit depuis 2022 avec son actionnaire - et concurrent - la Saria, la société d’équarrissage du Cantal sort gagnante de…

Les candidats de la liste JA-FDSEA ont été présentés le 17 décembre dernier à St Christophe sur Dolaizon.
"Vous accompagner pour une agriculture performante"

La liste des candidats portée par les JA et la FDSEA de Haute-Loire a été présentée le 17 décembre à St Christophe/Dolaizon.…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 100€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Réussir lait
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière Réussir lait
Consultez les revues Réussir lait au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière laitière