Top 10 des témoignages d'éleveurs de volailles les plus lus en 2023
Organisation et confort du travail, investissement dans les poulaillers, paillage, jardin d'hiver, amiante, photovoltaïque. Retrouvez les témoignages d'éleveurs de volailles qui vous ont le plus marqués en 2023 sur le site Réussir Volailles.
Organisation et confort du travail, investissement dans les poulaillers, paillage, jardin d'hiver, amiante, photovoltaïque. Retrouvez les témoignages d'éleveurs de volailles qui vous ont le plus marqués en 2023 sur le site Réussir Volailles.
Anaïs et son frère Florian se sont installés en 2021 avec la ferme intention de ne pas être esclaves de leur élevage de dindes. L’embauche d’un salarié a conditionné la dimension de leur exploitation.
En Haute-Marne, un éleveur a eu l’idée originale d’installer une charpente métallique au-dessus de son tunnel d’élevage de pondeuses pour produire de l’électricité tout en protégeant ses poules.
À 23 ans, Amandine Piet investit dans un poulailler neuf pour s’installer en poules reproduction en partenariat avec le couvoir Boyé Accouvage. Sereine et enthousiaste, elle a démarré son premier lot eau mois d'avril.
Une réflexion sur le temps de travail à l’aide de l’appli Aptimiz a amené Jérémy Fillon à passer tous ses poulaillers en bande unique, à arrêter la dinde au profit du poulet lourd et à déléguer le lavage.
Éleveur de dindes dans le Morbihan, Jean-Pierre Marchand a mis au point une repailleuse pneumatique, efficace et facile d’entretien. Avant sa retraite il a proposé son prototype à une PME bretonne, spécialiste du primo paillage.
Lors de son départ à la retraite, Jean-Bernard Moreau a fait démolir ses anciens poulaillers, pour ne pas avoir à laisser « en héritage » à ses enfants des bâtiments contenant de l'amiante, malgré le coût de l’opération.
Touché par la grippe aviaire en 2022, le Gaec de l’Harmonie a choisi d’arrêter le canard de chair et de transformer son bâtiment en poulailler avec jardin d’hiver, selon le concept Terre Neuve du Groupe Michel.
Le Gaec Thireau a investi dans 430 kWc de toitures photovoltaïques dont la production est destinée à la revente et à l’autoconsommation, notamment des deux poulaillers.
Depuis l’automne 2022 en Alsace, Hervé Roeckel alimente en partie ses pondeuses avec du maïs humide inerté. Il a investi 300 000 euros pour conserver des grains entièrement à l’abri de l’air et sans séchage préalable.
Des détenteurs de parcours comme Olivier Sourdin investissent eux-mêmes dans des abris photovoltaïques pour améliorer le confort des volailles, mais aussi pour un équilibre financier quasiment atteint dès la première année.