En nutrition-santé, Dietaxion préserve la valeur à quatre niveaux dans les exploitations
À l’occasion de l’ouverture de sa nouvelle usine de produits de biocontrôle pour litières, Dietaxion a présenté son approche circulaire qui vise à préserver la valeur dans les exploitations de polyculture-élevage.
À l’occasion de l’ouverture de sa nouvelle usine de produits de biocontrôle pour litières, Dietaxion a présenté son approche circulaire qui vise à préserver la valeur dans les exploitations de polyculture-élevage.
Spécialiste de la production de noyaux bactériens avec son laboratoire Cobiotex et de produits de biocontrôle à base de bactéries, Dietaxion développe une approche transversale pour préserver la valeur agricole sur les exploitations agricoles à vocation mixte.
1-Le premier maillon est nutritionnel, avec la fourniture d’ingrédients pour les animaux, comme le pidolate de calcium qui favorise l’absorption du calcium et du phosphore et améliore le dépôt osseux, ou le butyrate de sodium qui améliore la santé digestive. « Ces ingrédients permettent de mieux valoriser les aliments et d’améliorer la production en limitant le recours aux intrants, ce qui permet de préserver la valeur », souligne Luc Santune, ingénieur technico-commercial à Dietaxion.
2-Le second maillon est sanitaire. Dietaxion propose d’appliquer des bactéries positives pour les litières. Sous forme de poudre épandue sur la litière ou en application dans tout le bâtiment, ces bactéries inhibent le développement des pathogènes (salmonelles, colibacilles, streptocoques…). Elles entraînent une litière plus sèche, moins de dégagements d’ammoniac, donc moins de problèmes respiratoires. « Les gains de performance et les économies en frais vétérinaires et en paille préservent là aussi la valeur pour l’éleveur. »
3-Le troisième maillon, ce sont les effluents. « En limitant les rejets d’ammoniac, les bactéries permettent de conserver l’azote organique dans le lisier et le fumier qui est aussi plus décomposé. La valeur agronomique des effluents augmente. »
4-Et donc les cultures en bénéficient. C’est le quatrième maillon. « On instaure une économie circulaire. »
Le nouvel outil Greenaxion créé par Dietaxion au Landreau (44) servira à la mise des noyaux bactériens sur support pondéreux, auparavant sous-traitée. Dans un premier temps, il produira 1 000 tonnes de produits finis destinés à 40 % aux volailles et 50 % aux bovins.