Couverts végétaux : transformez l’obligation en atouts
Les couverts d’interculture s’imposent sur le territoire en France, dans les secteurs en zones vulnérables mais pas seulement. Au-delà du respect simple de la réglementation, ils répondent à divers objectifs agronomiques comme le montrent les quatre articles du dossier.
Les couverts végétaux sont utilisés pour lutter contre l’érosion en priorité en Seine-Maritime où les sols limoneux sont très sensibles à ce phénomène.
En monoculture de maïs très présente dans le Sud-Ouest, le seul moyen de toucher l’aide PAC sur la diversité des assolements est d’implanter une culture intermédiaire. Un flot de solutions existe pour répondre à cet enjeu et en tirer des bénéfices agronomiques.
Bien exploitées, ces cultures intermédiaires peuvent servir à améliorer la fertilité du sol et, dans les exploitations de polyculture élevage, elles servent clairement à pomper les nitrates pour les restituer sur la culture suivante.
Pour en savoir plus
Voir dossier Réussir Grandes Cultures de mai 2016. RGC n°302, p. 18 à 29.
Au sommaire :
p. 20 - Lutter contre la croûte de battance - Chez Ludovic et Grégoire Dufour en Seine-Maritime
p. 22 - Solutions multiples en monoculture de maïs - Dans le Sud de la France avec Maïsadour, Euralis, Dekalb...
p. 25 - Objectif : matière organique - Chez Bertrand Milard dans la Nièvre
p. 28 - Valoriser les effluents d'élevage - Au Gaec L'Aurore en Vendée