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Ses derniers articles d'actualité agricole

Franck Van Haaren concilie sa passion des chevaux et l'élevage ovin. © DR
Faire cohabiter chevaux et moutons
Passionné d’élevage équin et de génétique, Franck Van Haaren a toujours souhaité disposer de son propre élevage de chevaux.
L’exploitation de Marc, Pierre Marc et Étienne Drouville est en conversion biologique depuis mai 2019 pour les bovins et les cultures mais pas pour les ovins. © A. Peucelle
500 brebis en Lorraine, ils relèvent le défi de l’autosuffisance fourragère
Les années sèches et les mauvaises récoltes ont amené le Gaec du Pain de Sucre à repenser son approvisionnement en fourrage pour maintenir l’autosuffisance.
Cindy Simon, 25 ans, est à la tête d’une exploitation de polyculture élevage de 139 hectares. © A. Peucelle
Je cherche à améliorer les performances du troupeau 
Dès son arrivée sur l’exploitation familiale en 2016, Cindy Simon, à Bonnet dans la Meuse, a cherché à moderniser l’atelier ovin en vue de son installation.
Les tôles translucides sont orientées sur le versant Nord pour éviter les rayonnements solaires l’été. Le versant sud de la toiture est quant à lui recouvert d’un panneau solaire. © B. Morel
Adapter son bâtiment pour mieux gérer les chaleurs
La majorité des bergeries n’est pas équipée pour gérer les coups de chauds, lorsque la chaleur excède les 30 °C le jour et ne descend pas en dessous de 22 °C la nuit.
Si le bâtiment est plus ou moins rempli en fonction des saison, il est conseillé d'étudier la ventilation en fonction du nombre maximal de brebis pouvant être hébergé . © L. Geffroy
En hiver, de l’air pour évacuer l’humidité
Grâce à la chaleur produite durant la rumination, les moutons s’adaptent facilement aux températures froides. Raison de plus pour aérer et évacuer l’humidité.
La  longueur du tunnel joue un rôle décisif dans le choix de la ventilation. Pour les bâtiments de moins de 25 m de long, la pose d’un filet brise vent suffit. © L. Geffroy
Le choix de la ventilation dépend de la longueur du tunnel
Si le tunnel est moins coûteux qu’un bâtiment conventionnel, il présente les mêmes besoins de ventilation.
En zone de montagne, les ouvertures doivent être diminuées d’environ 30% pour éviter les pertes de chaleur en hiver. © D. Hardy
Des surfaces référencées pour les ouvertures ventilantes
Des valeurs de références existent pour calculer les ouvertures nécessaires en fonction des types de bâtiments. Un logiciel en ligne aide à les calculer.
En plus de permettre la ventilation, les ouvertures assurent l'entrée de lumière dans le bâtiment.  © A. Villette
Choisir son bâtiment en fonction de la ventilation
Des bâtiments étroits et dans des espaces dégagés sont plus facilement ventilés naturellement. L’orientation Sud-Est du long pan est à moduler en fonction des vents dominants.
Les filets brise-vent réglables peuvent aussi servir de pare-soleil l'été. © D. Hardy
Une bonne ventilation hiver comme été
Avec le réchauffement climatique, les besoins en termes de ventilation deviennent de plus en plus antagonistes selon les saisons. Si les moutons s’adaptent facilement aux températures froides, la majorité des bergeries n’est pas équipée pour gérer les coups de chauds. Pourtant, une bonne ventilation des bergeries ou des tunnels est essentielle pour la santé des animaux, celle des travailleurs et pour la pérennité des installations. Pour les éleveurs laitiers, un renouvellement d’air sans courant d’air doit aussi être assuré en salle de traite.
Georges-André est parti d’un lot de 110 brebis en 2014 pour aujourd’hui s’occuper d’un troupeau de 500 têtes. © A. Peucelle
« La polyculture-élevage était jadis la base des modèles agricoles »
À 27 ans, Georges-André a fait le pari de créer de toutes pièces un atelier ovin sur son exploitation de grande culture.