Viande rouge : une consommation ralentie
Gros bovins : Les prix de la viande restent fermes, les abattoirs tentant de répercuter la progression des tarifs du vif sous la pression des éleveurs. Mais si les hausses sont sensible sur le compensé (un tiers des approvisionnements), la grande distribution achète le catégoriel —les différents morceaux au détail— sur appel d’offre. Pour les abattoirs souhaitant revaloriser la viande, il est alors plus difficile d’être compétitifs.
Veaux : Si le carré ou la longe sont bien demandés, ce n’est pas le cas du reste de la gamme. Les abattoirs réajustent à la hausse les prix de ces derniers, afin de creuser l’écart avec les pièces moins recherchées et de mieux maîtriser leur équilibre matière.
Ovins : Pas de changement de ton en cette fin de semaine sur le marché de la viande, la demande reste mesurée.