Ovins : production stable dans l’Union en 2024
Gros bovins : L’ambiance est plus calme sur les marchés en vif en cette fin de semaine. Les tarifs se tassent dans les vaches du fait d’une offre assez abondante et d’une demande qui se calme à la veille des vacances scolaires et des fêtes de fin d’année. Seuls les cours des jeunes bovins restent encore fermes. En broutards, le commerce est bien plus calme. En laitonnes, même situation, la demande espagnole se fait moins présente.
Veaux : Le commerce ne ralentit pas pour les petits veaux croisés et les bons animaux en général. Les tarifs sont soutenus, l’offre peine à satisfaire les besoins.
Ovins : Les prévisions de la commission européenne laissent entendre que la production ovine de l’Union devrait rester stable à légèrement haussière dans les dix prochaines années. Néanmoins, la production française est attendue en léger recul, comme pour l’Espagne. La Grèce, la Roumanie et l’Irlande devraient au contraire développer leurs cheptels. Le Royaume-Uni, premier producteur européen, devrait prendre davantage de place dans l’export communautaire, en remplacement de la Nouvelle-Zélande, qui se tournera désormais davantage vers l’Asie.